Portrait de Mélanie Waldor

Julien Léopold Boilly

Annoté, en bas au centre, à la mine de plomb : « Mme J. Waldor ».

Annoté, sur le revers du cadre, de la main de M. Magnin, à la plume et encre brune (en partie effacée, décollée du revers) : « Mélanie Waldor par J. Boilly (vente Jules Boilly 25.f.)/ Elle était l’Adèle [...]/ Moins la fuite/ Moi, je fus l’Antony moins le crime/ (Alexandre Dumas, Mémoires)/ Ce qui n’empéchait pas Dumas/ d’écrire, vingt ans après, au bas/ de son portrait charge, dessiné par/ Giraud pour le compte de Nieuwork[...] et représenté en Antony/ "J’ai fait de[...] Antony, mais [...]pas voulu l’être"/ Antony reniait son passé/ Je place ce portrait à côté de celui de Dumas [...] ».

Un portrait de Mélanie Waldor figure dans la vente après décès de Julien Léopold Boilly du 14 au 16 décembre 1921 à Paris, hôtel Drouot (partie du n^o 157 du catalogue).

J. Magnin mentionne dans son catalogue de l’École française du musée (1938) la vente après décès de M^elle Parran [Parent, selon Lugt] du 23 au 25 juin 1921 à Paris, hôtel Drouot, mais le dessin n’a pas été identifié dans le catalogue de cette vente.

Cat. exp. Le Paysage français de Poussin à Corot, 1925, n^o 28 (Louis Léopold Boilly).
Cat. exp. Louis-Philippe - Napoléon III, 1928, n^o 791.
Cat. exp. Le Paysage français avant les impressionnistes, 1937, n^o 509.
Sandoz, 1977, n^o 62 p. 133, repr. p. 13.
Belhaouari, 2007, n^o 64.